Mão amiga fez-me chegar este texto. Já é tarde e tenho compromissos profissionais mais logo, daí limitar-me - por agora - a transcrever a mensagem.
Está em francês. Logo que possa, traduzi-la-ei... mas não espero nem mais um minuto para vo-la deixar. E meditem no que está escrito...
Aliás, eu acrescento um ponto a este "conto", como se costuma dizer...
Em vez dos 1000 € que vão ler a seguir, que tal pensarem em... 350 ou 400 ?
Eis a mensagem:
"Un sport de misère" selon Cédric Vasseur
Président du CPA, Cédric Vasseur a touché du doigt la précarité qui monte au sein du peloton : "Au vu des contrats que j'ai pu avoir dans les mains, certains coureurs sont vraiment prêts à signer n'importe quoi pour porter un maillot professionnel".
L'ancien double vainqueur d'étape sur le Tour ne reconnaît plus le cyclisme qui était le sien.
"C'est un sport de misère qui ne fait plus guère rêver, et c'est bien là le fond du problème" a-t-il ainsi expliqué.
Des propos qui contrastent avec ceux de Pat McQuaid, Président de l'UCI, qui n'hésite pas à affirmer que le cyclisme n'est pas touché par la crise.
McQuaid ne doit vivre que par et pour le ProTour, sans ce soucier des smicards du cyclisme.
Ces coureurs contraints d'accepter de courir pour 1 000 € mensuel, voire moins, pour continuer de vivre leur passion.
Source : La Voix du Sport
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